Selon l'épidémiologiste et conseillère scientifique au Bureau d’information et d’études en santé des populations à l’INSPQ Pascale Lévesque, «la pandémie a exacerbé certains facteurs de risques, mais n'a pas eu l'impact pour augmenter les taux de suicide».
Par ailleurs, la donnée la plus frappante est l'augmentation des hospitalisations et des visites aux urgences des jeunes filles pour des idées suicidaires et pour des tentatives de suicide.
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