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Nouveaux seuils d'immigration

«Le vecteur, ça a été nos inquiétudes face à la langue française»

«Le vecteur, ça a été nos inquiétudes face à la langue française»
La ministre Christine Fréchette, le PM François Legault et le ministre Jean-François Roberge. / PC/Karoline Boucher

Le gouvernement du Québec a évoqué, jeudi, deux scénarios touchant les seuils d'immigration. L'un d'entre eux évoque la possibilité d'accueillir jusqu'à 60 000 nouveaux arrivants par année.

Or, lors de la campagne électorale, le premier ministre François Legault avait dit qu'il serait «suicidaire» d'accueillir plus de 50 000 d'immigrants sans menacer la langue française. Mais si les 60 000 immgrants avaient tous une connaissance du français, ça serait une autre histoire.

«Le vecteur d'action principal, ça a été vraiment nos inquiétudes par rapport à la langue française. Il faut améliorer le sort de la langue française. En immigration, en établissant des conditions incontouranbles de connaissance de la langue française, si on accueille plus de monde que 50 000, on se trouve à avoir plus de francophones.»

En soulignant que le statu quo (50 000) est toujours sur la table, la ministère donne les paramètres liées au niveau de français requis selon les types d'emplois.

On l'écoute...

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