Discussions avec les universités anglophones: Québec reste ferme sur ses principes, ce n’est pas aux contribuables québécois de financer la formation de milliers d’étudiants canadiens hors Québec.
Dans un communiqué, la ministre de l'Enseignement supérieur Pascale Déry a indiqué que la rencontre avait donné lieu à des discussions franches, que les recteurs ont reconnu le déclin du français au Québec, particulièrement à Montréal, et l’importance d’agir pour renverser la tendance
La ministre Déry a donc salué leur volonté de franciser davantage les étudiants anglophones.
Elle a ajouté que les discussions vont se poursuivre, afin de trouver une solution spécifique à la réalité de l'Université Bishop’s.