La 47ᵉ édition de la Classique Pif, une compétition de balle molle, se tiendra du 24 au 30 juin au parc Quintal.
Lors de l’émission Que l’Estrie se lève mercredi matin, son directeur Jean-Charles Doyon a qualifié l’événement de premier rendez-vous festif de l’été à Sherbrooke.
Il attire des générations de participants et spectateurs, avec une programmation complète et un engouement en Amérique du Nord.
«C'est maintenant trois générations, bientôt quatre après 47 ans. Il y en a qui ont joué au Pif, qui viennent voir maintenant leurs petits-enfants. Ça fait que quand on voit tout ce monde dans le parc de jeux gonflables et aussi des joueurs de balle qui n'étaient même pas au monde dans les premières éditions», constate M. Doyon.
«Ces gars-là, aujourd'hui, viennent avec leurs enfants qui jouent au Pif. Cette année, c'est une année record. On n’a plus de place pour aucune équipe. Toutes les classes, invitations locales, autant hommes et femmes, on a pris le maximum d'équipes. On a refusé des équipes américaines à partir du mois de mars. On est vraiment fiers de notre événement.»
COVID-19
Le tournoi de baseball en serait rendu à la 49e édition, mais deux éditions ont été annulées en raison de la COVID-19, fait remarquer Jean-Charles Doyon.
Malgré son succès, le Pif n'offrira pas de transport en commun cette année en raison de coûts élevés et d'une faible utilisation passée. La météo est une préoccupation habituelle, mais l'organisation s'adapte au jour le jour.
Écoutez l’entrevue accordée à Jean-Sébastien Hammal.