En ne pouvant ouvrir cette année, le Liverpool manquera des périodes lucratives comme la rentrée scolaire universitaire et les partys de bureau des Fêtes. Des réservations avaient été faites pour ce moment de l’année, mentionne Annie Faucher, copropriétaire.
«C'est catastrophique. En l'espace de huit semaines, bon an, mal an, on accueille entre 150 et 164 entreprises de 10 à 250 personnes. C'est une période d'achalandage accrue parce que ça se passe dans une période courte, mais avec beaucoup, beaucoup d'achalandage», évalue-t-elle, invitée à commenter sur les ondes du 107,7 Estrie jeudi matin.
«La rentrée? On n'avait même pas besoin de faire de pub à la rentrée. On faisait partie des cinq premiers bars.»
Écoutez l’entrevue accordée à Steve Roy.