L'impact du «février sans alcool» se fait sur les affaires des tenanciers, notant une popularité croissante des cocktails sans alcool et une adaptation des menus.
Selon Maxime Pothier, propriétaire de plusieurs établissements à Sherbrooke, les gens en général continuent de sortir dans les bars, mais leur consommation a changé au fil des ans.
«Depuis quatre ou cinq ans, les cocktails sans alcool ont vraiment évolué. Il y a beaucoup d'offres, autant dans les alcools que dans les sans alcool. On peut travailler avec beaucoup de beaux produits, même des mousseux sans alcool.»
L’homme d’affaires mentionne également les défis liés à la Saint-Valentin qui tombera un vendredi cette année.
Il doit aussi prévoir des ajustements logistiques nécessaires en raison des changements de tarifs et de la disponibilité des spiritueux annoncés par le LCBO et la SAQ.
Écoutez l’entrevue accordée aux animateurs Steve Roy et Valérie St-Jean.
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