Le «temps d’écran» chez les jeunes continue de soulever des questions et des inquiétudes.
C’est l’un des thèmes centraux du 43ᵉ colloque annuel de l'Association québécoise des utilisateurs d'outils technologiques à des fins pédagogiques et sociales à Québec jusqu’à jeudi.
Son président Stéphane Lavoie dit qu’on doit clarifier la définition du temps d’écran dans un contexte pédagogique.
«Il faut comprendre, c'est que le temps d'écran au départ, c'est sans doute une mauvaise variable à utiliser pour déterminer si c'est bon ou pas bon. Si on est pour ou contre, les écrans peuvent être utiles comme ils peuvent être nuisibles, ça dépend de ce que l'on en fait et à quel moment qu'on les utilise.»
La conférence aborde l'utilisation controversée du temps d'écran en éducation, promouvant un «équilibre numérique» et l'intégration de l'intelligence artificielle.
On veut aussi développer la compétence numérique chez les enseignants et les élèves.