Dans sa chronique, François Gagnon critique la gestion des projets informatiques du gouvernement du Québec, citant des dépassements de coûts majeurs sous Lucien Bouchard (400 millions $ en 2003, équivalent à 800 millions $ aujourd’hui).
François évoque aussi la Gaspésia (365 millions $) et dénonce le recours à des entreprises étrangères comme LGS et IBM.
Il aborde ensuite les plateformes de déclaration de loyers pour bâtir le crédit et les difficultés croissantes liées aux paiements hypothécaires dues à la hausse des taux d’intérêt et du coût de la vie.