Selon une étude, 41 % des jeunes de la génération Z doutent de trouver un emploi, un sur trois prévoit quitter leur emploi en un an, restant en poste en moyenne 1,1 an, contre 1,8 pour les milléniaux et 2,9 pour les baby-boomers.
Cette cohorte valorise la flexibilité, la diversité des projets et l’intelligence artificielle, note un rapport de la firme Randstad sur les jeunes de la génération nés après 1997.
Ils occupent souvent plusieurs emplois, poussant les employeurs à repenser les parcours d’entrée et l’accès à la formation, ajoute Karine Baril, vice-présidente principale chez Randstad Canada.
On retient leur ambition, l’anxiété et la mobilité professionnelle qui est primordiale pour eux.
«Ce qui prévaut pour cette génération, c'est vraiment d'avoir un travail où la flexibilité est importante, mais aussi où il y a une tonne de projets, où ils sont capables de bien évoluer puis de diversifier un peu leur portfolio de connaissances. Donc ça, c'est important pour eux.»
Écoutez l’entrevue accordée à l’animateur Steve Roy.
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