Un couple de réfugiés vivant en Estrie demande à la DPJ de lui redonner ses enfants.
Selon un article du Devoir, les réfugiés africains ont vu leurs enfants, dont un nouveau-né, leur être retirés sans avertissement préalable.
Myriam Coppry, spécialiste de la parentalité migratoire, souligne la complexité des enjeux liés à la confiance, au choc culturel et à la nécessité d’une approche interculturelle basée sur les traumas pour mieux accompagner ces familles,
Elle remet en question la sensibilité culturelle des interventions du système québécois.
«C'est là l'enjeu. Quand chaque enfant a des besoins spécifiques et qu'aujourd'hui c'est important de pouvoir tenir compte du développement émotionnel, on s'entend que des gens qui sortent d'un pays en guerre, s'il devait tenir compte du développement émotionnel, il ne serait même pas arrivé ici.»