Le ministre Dubé recule dans sa réforme sur le mode de rémunération des médecins.
Dans l'espoir de faire avancer les négociations, le gouvernement provincial annonce qu'il laissera tomber la surveillance des médecins dans sa loi 2.
Le médecin de famille Dr. Benoit Heppell croit que Québec a agi de la sorte parce que l'opinion publique n'est pas de leur côté.
« Je pense que le gouvernement est peinturé dans un coin, puis il sait visiblement plus quoi faire. »
Benoit Heppell ne croit pas que cette annonce va inciter les médecins à retourner aux tables de négociations.
« Il n'y a rien à négocier. La loi, elle est passée, Le mode de rémunération a été changé. Les montants avec lesquels on sera payés sont dans la loi. Elles sont écrites noir sur blanc, votées à l'Assemblée nationale. »