Cogeco Nouvelles a appris qu'un abattoir provincial est sur le point de voir le jour à Racine.
La seule ombre au tableau est que le ministère de l'Agriculture peine à trouver un vétérinaire disponible à temps plein pour qu'il puisse opérer 5 jours par semaine.
Présentement, un vétérinaire pourrait y être attitré seulement 2 jours par semaine.
À défaut d'avoir recours au service d'un tel professionnel, l'Union des producteurs agricoles de l'Estrie suggère qu'un inspecteur soit embauché afin de vérifier l'état des carcasses.
Depuis l'incendie qui a détruit l'abattoir Rousseau de Lingwick en 2017, plusieurs producteurs sont forcés d'acheminer leurs bêtes vers des abattoirs de l'Ontario ou des États-Unis.