La Fraternité des constables du contrôle routier du Québec estime que 53 % des quelque 300 membres songent à quitter leur emploi en raison du harcèlement psychologique.
Le président, Éric Labonté a indiqué sur ondes que le syndicat a utilisé tous les moyens légaux à sa disposition pour renverser la situation.
Or, les gestionnaires qui sont à la source du problème, selon lui, n’ont jamais été réprimandés.
Selon M. Labonté, plusieurs contrôleurs ont quittés leur poste au cours des dernières années en raison du climat malsain.