La 70e raquette mondiale de tennis, Adrian Mannarino, a donné une entrevue au micro de Yanick Bouchard.
L’édition 2017 de la Coupe Rogers, maintenant l’Omnium Banque Nationale, en a été une bonne pour le Français. En effet, celui s’était rendu en quart de finale à Montréal avant d’être éliminé par Denis Shapovalov.
«J’ai eu de bons résultats à Montréal dans le passé. Ce sont des conditions de jeu qui me conviennent bien et c’est toujours agréable de revenir ici quand on a des bons souvenirs.»
Mannarino mentionne que les organisateurs de la compétition offrent des bonnes conditions pour favoriser des bonnes performances de la part des athlètes.
Au sujet de sa préparation d’avant-match, veut-il savoir le nom de son adversaire en avance?
«Je n’aime pas savoir contre qui je joue. Surtout pas. C’est ma manière de préparer les matchs. Je ne veux pas le savoir. Je le découvre au dernier moment et ça me permet de ne pas trop réfléchir. [...] J’attends généralement entre 30 et 60 minutes avant un match. Je suis un vétéran. Je connais un peu tous les joueurs depuis tellement d’années que je n’ai pas besoin de beaucoup de temps pour préparer un match. [...] J’attends à la dernière minute pour être frais mentalement.»
Mannarino parle également de la situation du tennis français et de l'impact de Serena Williams sur le tennis féminin.