Le manque d'effectifs ambulanciers et la fermeture de l'urgence de Coaticook le soir du 14 août dernier n'ont pas eu d'incidence sur la mort de Michel Dorval qui participait à une visite de Foresta Lumina.
C'est l'une des conclusions du coroner John Westerlund dans son rapport.
Ce soir-là, il y avait une ambulance et même s'il y en avait eu deux de disponibles et que l'urgence avait été ouverte, cela n'aurait pas permis de sauver l'homme de 81 ans qui est décédé subitement d'un syndrome coronarien aigu.
Un taux de cholestérol élevé, des prédispositions familiales et l'âge de M. Dorval ont contribué au risque de subir un évènement cardiaque.
Quant au délai de dix minutes entre l'appel au 9-1-1 et l'administration du premier choc du défibrillateur, le coroner l'explique par une certaine confusion sur le site, mais ce n'est pas un facteur retenu pour expliquer le décès.
Le coroner note que de manière générale, les chances de survie après un arrêt cardiaque en dehors d'un hôpital sont minimes.