Les Québécois ont tendance à moins se marier, ou le font plus tard. Attendre la fin de la quarantaine ou le début de la cinquantaine permet-il un engagement plus durable?
Écoutez Sylvie Lavallée, sexologue et psychothérapeute, se pencher sur la question, vendredi, au micro de Marie-Eve Tremblay.
«Il y a des gens qui déploient un peu leur potentiel d'engagement plus tard ou ont rencontré la bonne personne plus tard. Ils ont eu une vie amoureuse ou une vie de famille, peut-être dans la trentaine, ils se sont séparés, et là, un beau clin d'œil de la vie leur fait rencontrer une nouvelle personne et il y a un nouvel élan. Ils n'avaient jamais pensé se marier et là, ils sont un peu surpris de leur état émotionnel.»