Des travailleurs de l'ombre pallient les défaillances des filets sociaux. La maison de chambres Chez Lise du Vieux-Longueuil accomplit cette mission
«On a une clientèle extrêmement difficile. Elle est dans un espèce de tout-inclus. La police appelle d'ailleurs ça le Resort. Ils ont une chambre, l'électricité, l'Internet et les trois repas par jours»
La maison abrite des gens pris avec des problèmes de santé mentale, de toxicomanie ou de déficience intellectuelle. «Souvent, ce sont des gens qui ont été judiciarisés», renchérit la chroniqueuse, qui ajoute que quelque 80 chambres sont disponibles à un peu moins de 1000$ par mois.
Écoutez la chronique complète de Katia Gagnon...