La Société protectrice des animaux d'Arthabaska (SPAA) déborde d’animaux, dont de nombreuses bêtes abandonnées.
L’organisme est confronté à une crise post-pandémique avec un nombre d'animaux gérés doublant à 1500 en 2024, déplore Geneviève Bouffard, directrice générale.
Source: Tirée de Facebook SPA d'Arthabaska
«C'est épouvantable. Honnêtement, au quotidien, tous les refuges débordent. J'aime bien appeler ça une crise post-pandémique. En fait, durant la pandémie, les gens avaient du temps, on a adopté. Par contre, le retour à la réalité a été difficile pour les animaux au Québec.»
Salle de chirurgie
Selon elle, la SPAA devrait pouvoir compter sur une salle de chirurgie et souhaite pouvoir compter sur la présence d’un vétérinaire.
La SPA d’Arthabaska a lancé une campagne de financement pour améliorer son autonomie et son efficacité.
Invitée sur les ondes du 107,7 Estrie, Mme Bouffard a rappelé l'importance de la stérilisation pour gérer les populations animales, surtout dans un contexte rural comme Victoriaville.