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La chronique de Philippe Léger

Un vol «facile» au Louvre et l'ère post-Massé à Québec solidaire

Un vol «facile» au Louvre et l'ère post-Massé à Québec solidaire
La chronique politique de Philippe Léger / Cogeco Média

Le monde de l'actualité nous donne parfois l'impression de regarder un film, mais la réalité dépasse souvent la fiction, comme l'ont constaté Jean-Sébastien Hammal et Philippe Léger ce matin à Que l'Estrie se lève.

Le chroniqueur Philippe Léger revient sur un événement qui a ébranlé la France et le monde de l'art, le vol «inusité mais combien spectaculaire» au célèbre musée du Louvre. Loin des scénarios de type Mission Impossible ou Arsène Lupin, ce braquage s'est révélé être étonnamment simple et rapide, effectué en seulement «sept ou huit minutes» selon M. Léger.

L'analyse de cet événement met en lumière une faille majeure dans la sécurité du patrimoine français. Le nouveau ministre de l'Intérieur, Laurent Nuñez, a déjà fait une déclaration déconcertante: «Nos bijouteries, donc tous les magasins de bijoux sont mieux protégés que les musées.»

Un constat que Jean-Sébastien Hammal a appuyé, soulignant que seule «une seule salle sur trois au musée du Louvre qui est munie de caméras.» Cette situation soulève de sérieuses questions sur la protection des trésors historiques et le patrimoine de l'humanité.

Mais l'actualité ne s'arrête pas aux frontières françaises. Les animateurs ont également discuté du dossier du jour concernant les dépenses «assez impressionnantes» des sénateurs et de leurs conjoints, rapportées par le Journal de Montréal. Des voyages «en classe affaires» et un «luxe» payé par l'État, ambitionnant une «vie de millionnaire, mais aux crochets de l'État.» Une dynamique récurrente de «pousser, pousser, pousser» sur les dépenses jusqu'à ce que l'on «se fasse prendre», ce qui pose la question de la «légitimité même du Sénat».

Enfin, le segment s'est terminé sur un moment charnière pour la politique québécoise, celui de l'annonce du départ prochain de Manon Massé. Philippe Léger a souligné l'importance de ce personnage «central» pour la gauche québécoise, qui avait «une résonance dans la population que peu de politiciens ont au Québec.» Ce départ, combiné à ceux de Gabriel Nadeau-Dubois et Christine Labrie, place Québec Solidaire dans une période de «jachère politique» qui s'annonce difficile.


Apprenez-en plus sur l'enquête du vol du Louvre, les dépenses des sénateurs et l'avenir incertain de QS en écoutant l'extrait audio complet!

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