Les coopératives de santé peuvent être un modèle pour améliorer l’accès à des soins pour la population.
François Allaire, directeur général de la Fédération québécoise des coopératives de santé, soutient que le modèle libère les médecins des tâches administratives, permettant une meilleure focalisation sur le soin des patients.
Malgré ses avantages, il reste peu répandu, nécessitant une meilleure reconnaissance et soutien de l'État pour se développer davantage, dit-il.
«C'est un modèle qui est en croissance. On accompagne des médecins qui s'intéressent au modèle et qui souhaitent l’implanter. Mais ça ne se fait pas en criant ciseaux! Ça prend vraiment une volonté du milieu de mettre en place ces coopératives.»
Ce modèle, qui s’intègre souvent à des GMF, a prouvé son efficacité en augmentant les plages horaires disponibles pour les consultations médicales.
Écoutez l’entrevue accordée aux animateurs Steve Roy et Valérie St-Jean.