Dans sa chronique, Georges Mercier a analysé les tensions entre Donald Trump et les universités d'élite américaines, notamment Harvard.
Elles sont critiquées pour leur libéralisme et leur manque de diversité idéologique.
Donald Trump a exigé plus de présence conservatrice et la fin des politiques de discrimination positive, menaçant de retirer des fonds et le statut fiscal avantageux de ces institutions.
Les manifestations propalestiniennes sur les campus ont exacerbé ces tensions, utilisées par le président Trump comme prétexte pour renforcer le contrôle fédéral sur les universités.
L'Université Harvard choisit de ne pas se soumettre aux demandes de la Maison-Blanche jusqu'à maintenant.