Les périodes de mauvais temps, dont dix jours de pluie consécutifs en mai, sapent le moral des clients et la qualité des plantes.
C’est ce qu’a pu réaliser Mélanie Grégoire, des Serres Saint-Élie, au cours des dernières semaines.
Les défis météorologiques rencontrés depuis avril ont affecté la saisonnalité des entreprises horticoles, dit-elle.
Mme Grégoire souligne l'adaptation des pratiques, comme l'ouverture des toits des serres pour contrôler l'humidité.
«C'est des températures parfaites pour le développement de la maladie. Juste la semaine dernière, chaque matin, on ouvre les toits des serres, on chauffe juste pour faire sortir l'humidité, pour éviter le développement de la maladie.»
La femme d’affaires espère une amélioration de la fréquentation en juin.
Écoutez l'entrevue accordée à l'animateur Steve Roy.
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