Dans sa chronique, Georges Mercier analyse les manifestations à Los Angeles, soulignant que Donald Trump utilise les images de violence pour justifier politiquement l'usage de la Garde nationale.
Les événements violents sont localisés et moins graves que ce qui est présenté.
Il compare la situation à celle de Paris après la victoire du Paris Saint-Germain, où les images de célébrations violentes étaient également sorties de leur contexte.
Georges aborde aussi la position du gouverneur de Californie, Gavin Newsom, qui s'oppose au président Trump, et les implications politiques de ces conflits d'images.