Dans sa chronique, Me Maxime Bernatchez analyse deux cas judiciaires concernant la thérapie comme alternative à l'incarcération.
Thomas Marcoux, accusé d'agression sur Grinder, a été libéré sous condition de résider dans un centre de thérapie, mais il s'est enfui et est actuellement recherché.
Un autre homme de 35 ans, trouvé avec une arme chargée et des drogues, s'est vu refuser la thérapie par la juge de la Cour du Québec en raison de son risque de récidive et des antécédents judiciaires.
Les critères de remise en liberté incluent la responsabilité, le risque de récidive et l'opinion publique.