Dans sa chronique, Tasha Kheiriddin partage son expérience de «tourisme médical» au Vietnam.
Elle a dû y passer un imagerie par résonance magnétique (IRM).
«J'avais un fibrome. Il y avait un soupçon que c'était peut-être un cancer. Je ne pouvais pas me procurer un IRM ici en Ontario. Ça prendrait au moins un mois, peut-être plus. Et ça, c'était pour les cas urgents. Et moi, c'était urgent. J'étais par hasard au Vietnam pour des vacances et je me suis dit: “ Bon, est-ce que je devrais y aller?” Et là j'ai pensé oui, parce que je pourrais acheter un IRM au Vietnam.»
Tasha souligne du coup la croissance du nombre de Canadiens cherchant des soins à l’étranger.