La Sherbrookoise Daphné Thomassin, dont le projet de duplex à Saint-Élie n'est pas concerné par la levée partielle du moratoire sur la construction, cherche à confirmer si son projet peut bénéficier d'une exception pour les habitations unifamiliales ou bifamiliales.
«Le 1ᵉʳ juillet arrive très rapidement. On essaie de regarder s'il n'y a pas des membres de la famille qui peuvent nous prendre dans le sous-sol pendant un certain temps, parce que c'est ça dans deux ou trois semaines. Logiquement, on est à la rue, mais on essaie de s'arranger le plus qu'on peut.»
Elle et son conjoint Mikael Grenier ont fait l'acquisition d'un terrain en 2024 dans le secteur Saint-Élie pour y ériger un duplex, mais ont été bloqués par le moratoire sur les ouvrages sur les surverses.
Le jeune couple est confronté à l'urgence du déménagement du 1ᵉʳ juillet et doit envisager de loger temporairement chez des proches.