Après le branchement d’Internet, Gilles Bélanger, député d’Orford, s’attaque à la mobilité cellulaire.
«J'ai été en politique pas pour faire de la politique, j’ai été en politique pour réaliser des projets. Dans le premier mandat, j'avais le projet de réaliser le déploiement d'Internet. Le Parti libéral l'avait promis en 2003. On l'a fait. Il reste peut-être des choses à faire parce que c'est un service essentiel», mentionne-t-il.
«On a réalisé quelque chose en 18 mois qui n'avait pas été fait en 20 ans. Maintenant, j'ai la mobilité. C'est un défi parce que les entreprises de télécoms n’ont aucun intérêt à fournir la mobilité en région. Ce n'est pas payant pour eux. Je suis en train de réfléchir à des solutions qui vont peut-être en surprendre quelques-uns d'ici les deux prochaines années.»
En 2026, M. Bélanger espère que le réseau cellulaire partout au Québec permette d’avoir accès à la voix, aux textos et au transfert des données.
Christian-Vachon
Le député caquiste a fait parler de lui lors du caucus de son parti tenu à Rimouski il y a quelques semaines. Il ne pouvait y être, compte tenu de sa participation à un événement sportif de la Fondation Christian-Vachon.
C’est à ce moment que le superministre Pierre Fitzgibbon démissionnait, laissant penser à certains observateurs que Gilles Bélanger pourrait le suivre.
«Ç'a dérangé personne parce que c'était prévu. J'en avais parlé au bureau du premier ministre. Ils m'ont donné le OK, assure-t-il.
«Cette journée-là, j'étais dans le bout de Victoriaville. Je vois sur mon cellulaire que Pierre démissionne. Évidemment, j'ai été secoué.»S2 Gilles Bélanger, âgé de 66 ans, dit poursuivre son parcours politique «mandat par mandat».
Protection de l’eau
Lors d’une entrevue sur les ondes du 107,7 Estrie, le député caquiste d'Orford a parlé du dossier de la protection des ressources en eau en Estrie, notamment avec des fonds alloués à deux organismes environnementaux.
Il aborde également les inquiétudes liées au projet de prétraitement de lixiviat au Vermont, qui pourrait affecter le lac Memphrémagog.
Écoutez l’entrevue accordée à Jean-Sébastien Hammal.