Les problèmes persistent en santé mentale, avec des débordements et un manque de sécurité dans les unités de santé mentale.
Des coupes budgétaires ont également affecté la sécurisation du personnel, déplore Stéphanie Goulet, présidente du Syndicat des professionnels en soins des Cantons-de-l'Est, affilié à la FIQ.
Dans La Tribune, Mélanie Champoux, une ancienne infirmière, a révélé un incident violent survenu il y a six ans dans le département de psychiatrie du CIUSSS de l'Estrie, où un patient a agressé un collègue.
«Ce qui est inquiétant en santé mentale, c'est les débordements. Ça fait des années qu'on connaît des lits de débordement en psychiatrie, mais là c'est vraiment les unités sont pleines.»
Mme Goulet soutient toutefois que des améliorations ont été apportées, notamment la formation du personnel et l'ajout d'agents de sécurité.
Écoutez l’entrevue accordée aux animateurs Steve Roy et Valérie St-Jean.