Un abri en bois avec un toit en métal est dans la mire de la Ville de Magog.
La structure, qui diffère des abris d'auto traditionnels, pourrait valoir une amende allant jusqu'à 1000 $ à ses propriétaires Thierry Jacques et sa conjointe Anne-Marie.
Ils font face à des problèmes réglementaires avec la Ville de Magog, car leur structure n'est pas conforme aux normes locales, explique M. Jacques, invité lors de l’émission Que l’Estrie se lève.
«On ne pensait pas avoir des problèmes comme ça. Notre premier appel pour la Ville, c'est de savoir à quelle distance on pouvait le mettre pour ne pas avoir de problèmes comme on pensait essayer de le laisser à l'année. Mais là, on ne peut jamais laisser un abri temporaire à l'année. Donc, on s'est dit qu’on va mettre un système de roues qu'on a acheté pour pouvoir le déplacer.»
Le couple est actuellement en pourparlers avec la ville pour résoudre cette situation.
Écoutez l’entrevue accordée à l’animateur Jean-Sébastien Hammal.