À l'approche de Pâques, on demande aux gens d’y réfléchir à deux fois avant d'acheter un lapin ou un poussin.
Francesca Lo Dico, du refuge Les Mignons Pompons à Mascouche. demande aux gens de bien réfléchir avant de faire un achat du genre.
L’abandon de lapins après Pâques est un problème récurrent, déplore-t-elle, invitée à commenter lors de l’émission Que l’Estrie se lève,
Les gens sous-estiment souvent les besoins spécifiques et les coûts associés à ces animaux.
«Il y a une grosse problématique avec Pâques. Parce qu'un lapin c'est tout mignon et on peut facilement aller s'en procurer un à bas prix. Mais le problème, c'est que les gens sont peu informés sur leurs vrais besoins. Un lapin, ça coûte cher, ça a des besoins particuliers.» - Francesca Lo Dico
Elle mentionne que les refuges, déjà surchargés, doivent gérer un afflux supplémentaire de lapins abandonnés, exacerbant les problèmes de capacité. Elle insiste sur l'importance de la stérilisation et de l'éducation des futurs propriétaires pour prévenir ces abandons.
Pétition
Des gestionnaires de refuges en ont plein les bras avec d'importantes populations de lapins et de poussins abandonnés.
Depuis quelques années, Montréal et Victoriaville ont interdit aux éleveurs et aux animaleries de vendre des lapins.
Un regroupement de refuges a d'ailleurs déposé une pétition pour que Québec aille de l'avant avec une réglementation.
Écoutez l’entrevue accordée à l’animateur Jean-Sébastien Hammal.
Source: Tirée de Facebook
Francesca Lo Dico