Un sondage révèle que près d'un tiers des Québécois sont inquiets du manque de ressource et de soutien pour accompagner un être cher en fin de vie.
Toutefois, ceux ayant déjà accompagné quelqu'un sont généralement satisfaits des services reçus.
En cette Semaine nationale des soins palliatifs, Lyne Bellavance, directrice générale de la Fondation PalliAmi, met en lumière les préoccupations des Québécois concernant ce manque de ressources pour l’accompagnement des personnes en fin de vie.
«Si je dois accompagner un conjoint, un frère ou une sœur, quand on se transforme en proche, on aime dire proches aimants, parce qu'on continue à aimer la personne. On doit prendre un rôle qu'on ne connaît pas.»
La discussion aborde également l'impact de l'aide médicale à mourir, avec 56% des répondants croyant que c'est la meilleure façon de mourir dignement.