Les négociations rompues entre Ottawa et Washington pourraient avoir des répercussions dans l’industrie automobile. On assiste à un resserrement de la visse par le gouvernement fédéral.
Serait-il le bon moment pour faire de la place aux voitures chinoises?
Selon le rédacteur en chef de l'Annuel de l'auto Benoit Charette, il y a peut-être une occasion à saisir avec le géant asiatique.
«L'occasion est belle», lance-t-il, en parlant de la possibilité d’ouvrir le marché canadien aux constructeurs chinois comme BYD, dans un contexte de tensions commerciales et d’incertitude pour l’industrie automobile ontarienne.
Écoutez l’entrevue accordée à l'animateur Jean-Sébastien Hammal.
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