On assiste à une hausse préoccupante des cancers précoces chez les jeunes adultes (20-40 ans) au Québec.
Le phénomène est mal compris par la science et peu pris en charge par le système de santé, dont les programmes de dépistage ciblent surtout les 50 ans et plus.
Il est recommandé d’abaisser l’âge du dépistage du cancer du sein à 45 ans, explique Angie Landry, journaliste de L’Actualité. Elle signe un dossier sur les cancers précoces. Comment ces jeunes adultes font-ils pour traverser courageusement un cauchemar éveillé?
«Les programmes de dépistage en ce moment pour les grands cancers sont accessibles seulement à partir de l'âge de 50 ans», dit-elle.
Des organismes comme la Fondation québécoise du cancer et La Rose des vents de Sherbrooke offrent un soutien psychosocial, mais il manque de programmes centralisés pour accompagner ces jeunes patients.
Écoutez l'entrevue accordée à l’animateur Jean-Sébastien Hammal.