Dans sa chronique économique, François Gagnon explique la règle budgétaire des 50, 30, 20.
Elle permet de répartir les revenus nets en 50 % pour les besoins essentiels (logement, alimentation, dettes), 30 % pour les désirs, et 20 % pour l’épargne et le remboursement des dettes.
Il souligne les difficultés d’application au Québec, notamment à Montréal, en raison de l’inflation et du coût de la vie, surtout pour les retraités, dont 25 % ont encore une hypothèque.
Le chroniqueur discute aussi d’un tableau de bord centralisé pour les régimes de retraite, utilisant l’intelligence artificielle, afin de mieux planifier la retraite.