Des allégations de cas d’utilisation de GHB, appelée «drogue du viol», font rage sur les réseaux sociaux concernant un bar de Sherbrooke.
Invitée à commenter, Isabelle Gendron, porte-parole du Service de police de Sherbrooke, dit ne pas avoir reçu de plainte à ce sujet dans les derniers jours.
Mais elle encourage fortement les victimes à le faire officiellement pour permettre une enquête.
«C'est sûr que faire des dénonciations sur les réseaux sociaux, c'est une chose, mais si on veut porter plainte, si on veut qu'il y ait des actions qui soient prises, j'invite les personnes à communiquer avec nous, avec nos enquêteurs au service de police. Nos agents vont prendre la plainte et puis il va y avoir un processus qui va être fait.»
Mme Gendron a souligné l'importance de se rendre à l'hôpital pour des tests médico-légaux en cas de suspicion d'intoxication.
Les propriétaires du bar en question prennent l'affaire au sérieux et ont déjà commencé à examiner les preuves vidéo et à contacter les clients concernés.