La violence est un problème minoritaire, mais qu’on prend au sérieux dans le monde du dek hockey.
Éric Côté, copropriétaire du complexe Hockey Balle Sherbrooke, dénonce la violence dans ce sport.
Des mesures strictes comme des suspensions visibles sur leur site sont imposées pour dissuader les comportements agressifs, assure-t-il.
Dans la grande majorité des cas, les matchs se déroulent sans animosité, ajoute M. Coté, appelé à commenter lors de l’émission Que l’Estrie se lève.
«Annuellement, c'est 6500 matchs qui se jouent. Donc, c'est sûr que sur 6500 matchs il va avoir plus d'animosité. Mais là, on parle d'un faible pourcentage. Puis oui, c'est sûr que des fois, il y aura des gestes regrettables qui vont être posés, mais on agit en conséquence, puis on suspend les gens. Puis, on espère que le message se passe entre eux.»
Il souligne également l'importance de la responsabilité corporative et la coopération avec la ligue pour empêcher les joueurs suspendus de jouer ailleurs.