Dans sa chronique, Emmanuel Choquette analyse la crise actuelle au Parti libéral du Québec (PLQ), marquée par l’ouverture d’une enquête criminelle de l’UPAC.
L’Unité permanente anticorruption avait été créée par le PLQ pour assainir le financement politique après des allégations dans la construction.
Le congédiement d’une employée proche de Pablo Rodriguez, chef du PLQ depuis six mois, est à l’origine de la crise qui secoue le parti, note Emmanuel.
Tout cela alimente les soupçons et fragilise l’image du parti, tandis que des figures comme Charles Milliard et Monsef Derraji pourraient profiter d’un éventuel départ du chef Pablo Rodriguez, dans un contexte de volatilité électorale et de questionnement sur la survie du PLQ.