Une étude sur le financement des écoles privées au Québec déboulonne les mythes tels que l’inégalité du système éducatif et l’élitisme du privé.
On y apprend que le pluralisme éducatif, la réglementation stricte des écoles financées et l’augmentation de 200 % des élèves à besoins particuliers (HDA) dans le privé.
Selon Étienne-Alexandre Beauregard, chercheur à l’Institut Cardus, le financement partiel (60 %) des écoles autonomes n’enlève pas d’argent au public.
La diversité de l’offre favorise l’innovation et l’émulation entre réseaux, dit-il.
«L'État a un rôle de financer, de réglementer ce qui est enseigné, mais pas toujours de le dispenser directement, de donner l'enseignement aux élèves. On peut avoir aussi une pluralité d'options là-dedans.»