Une semaine après le début de la grève dans la construction résidentielle, les pourparlers à la table de négociations se poursuivent, mais aucune entente n’a été conclue.
La crise du logement au Québec est amplifiée par cette grève, affectant des milliers de ménages à la recherche d’un toit.
Selon Isabelle Demers, de l'APCHQ, des négociations intensives ont eu lieu, avec une journée importante de discussions et la formation d'un groupe de travail restreint.
«La journée d'hier a été une journée importante de discussions. L'APCHQ trouvait que les discussions n'avançaient pas assez vite. On s'est impatienté un peu et on a proposé à un comité un groupe de travail un peu spécial, un groupe de travail restreint, pour pouvoir explorer de nouvelles façons pour sortir de cette impasse. Donc, il y a toute la journée, il y a eu des discussions.»
Parallèlement, Mme Demers se réjouit de la levée partielle du moratoire sur la construction à Sherbrooke, offrant un potentiel de développement accru malgré la grève.
Écoutez l’entrevue accordée à l’animateur Jean-Sébastien Hammal.
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