Mélanie Bédard, ancienne policière sherbrookoise, s'est fait connaître comme pionnière dans l’introduction des chiens d’accompagnement.
Elle déplore aujourd’hui la fin de ce programme de soutien émotionnel en cour au SPS.
Mme Bédard, qui a fait connaître le chien Kanak, souligne l’impact positif de la zoothérapie pour les victimes, surtout pour les enfants et les femmes victimes de violence.
Elle déplore l’absence de reconnaissance et de continuité du service malgré son succès, repris par la Sûreté du Québec et d’autres organismes.
«On a été les premiers au Québec à mettre sur pied le projet de chiens de soutien émotionnel en milieu judiciaire pour apporter du réconfort aux victimes et surtout les jeunes victimes qui ont été abusées physiquement, sexuellement. Donc ça a été un super projet qui a fait ses petits partout Québec, même en Europe.»
Source: Tirée de Facebook
Elle évoque aussi des enjeux de financement, de ressources humaines et d’humanisation du système judiciaire, tout en insistant sur l’efficacité démontrée de ces chiens.