Le meurtre de Mylène Masson Bessette, une mère de famille de 33 ans qui aurait été la victime d'un féminicide, est la triste illustration du manque de messures efficaces pour prévenir ce type de crime, malgré les ressources et campagnes existantes.
Julie Dionne, porte-parole du collectif Pas une de plus, souligne également l'importance de l'intervention des maisons spécialisées et de la sensibilisation sociale pour changer la perception et le traitement des femmes.
«C'est sûr qu'il manque de volonté politique. L'argent, ça suffit? Malheureusement pas. Ça prend vraiment un plan intégré. Il faut que le gouvernement parle aux groupes qui travaillent avec ces femmes pour trouver vraiment les mesures. Ça n'a pas de sens.»
Il a été présumément commis par son conjoint, Joey Bilodeau.
Écoutez l'entrevue accordée à l'animateur Jean-Sébastien Hammal.
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